mercredi 16 mars 2011

La fête à la grenouille

Je dois déjà me faire violence le matin pour me préparer et partir bosser. Seule l'idée du salaire qui va m'être versé me motive suffisamment...
Voilà maintenant que la météo s'y met !
Ce matin, mon trajet habituel de 15 mn et 15 km s'est heurté à des barrières "Route Inondée", puis à de grands gestes explicites "Passez pas ! L'eau ! L'eau ! Beaucoup !", pour finir par un détour conséquent (+ 20 km) et une heure de retard (qui me sera retenue, dixit la directrice).
Autant dire qu'à 14h30, en quittant les 5 bébés présents, je n'étais pas spécialement de bonne humeur en envisageant mon trajet retour. Je tente quand même de reprendre la voie rapide : peine perdue, demi-tour au bout de quelques kilomètres, route fermée.
OK. Va pour le détour. Cette fois je vais plus vite, puisque je sais où je suis. Trente km plus loin, dernier rond-point avant l'entrée de ville, je tourne... et je dois passer la première : début d'un embouteillage morne, rue après rue le même panneau, les mêmes barrières, et l'aiguille du compteur qui ne dépasse pas le 20 à l'heure.
40 minutes. J'ai mis 40 minutes pour faire les 3 derniers kilomètres qui me séparaient de la maison. Et les temps de trajet ne sont pas payés, eux !
Grrrr....

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