dimanche 19 septembre 2010

René


Chez mon fils en début de mois, j'ai fait une cure de Barjavel.

Il faut savoir qu'il n'aime pas lire, mais quand (par extraordinaire) il se prend de passion pour un auteur, il dévore tout ce qu'il peut trouver de lui. Chez lui, traînaient des livres de poche que j'avais déjà lus, et plein de Barjavel.

Je me suis donc fait, à la file, La nuit des temps et Une rose au paradis, et j'ai parcouru La faim du Tigre. Il y a quelques années, j'avais lu Le grand secret.

Ouais. Bof. J'aime pas. A la fois trop cucul-youpi-aimons-nous-et-l'humanité-sera-sauvée, et trop poussé dans la réflexion théologique du style Y a-t-il un Dieu là-haut et qu'est-ce qu'il fabrique bon sang à laisser les hommes faire d'aussi grosses c*nneries ?

Bien fichu, bien amené, intrigue agréable, style sympa (des tas de scènes de sexe quand même hein, même si c'est à base de désir dressé qui parcourt tous ses secrets et ses portes profondes, et aussi de rêve de joie plein de tendres pousses exquises et de bourgeons qui s'ouvraient...) mais je n'aime pas. Voilà, c'est dit.

Par contre, faudrait que je revois le feuilleton Tarendol : avec ma soeur, on était raide dingues de l'acteur, Jacques Penot. Pas de science-fiction, mais une histoire d'amour-fou entre deux ados, un pauvre, une riche, et qui finit super-mal, rhâââaah... J'avais à peine 14 ans, aussi.

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